Motueka. Assise à ma table, je bois mon café noir fumant en écoutant la pluie tomber. Signe que l'automne approche ? Par la fenêtre, je vois des pommes qui dans quelques temps se feront cueillir par d'habiles mains de cueilleurs. Peut-être moi ? J'entends le son du petit fantail, toujours perché sur sa branche à attendre les insectes volants et à les saisir au vol. Doux réveil...
Nous prévoyons rester sur ce verger quelques semaines. Je réalise que cette stabilité me fait du bien,après plus d'un mois sur la route, en nomade.
Nous avons réalisé un périple de 3 jours/2 nuits dans le parc d'Abel tasman. Deux journées de kayak de mer à découvrir les falaises, les îles, les oiseaux et même quelques phoques. Et finalement une journée de marche pour revenir à notre point de départ (25 km... quand même!... parfois je me demande si on n'est pas un peu fou:) Un souvenir pour moi tant par la beauté des paysages que par les émotions vécues sur la mer agitée de ma 2e journée de kayak.
Avoir le mal de mer: se sentir "barouater" d'un bord pis de de l'autre en essayant de garder le contrôle malgré tout.
Quand je regardais à l'horizon et que mon regard n'y voyait rien ou plutôt que de l'eau, je me sentais vulnérable. Minuscule dans cette immensité bleue. Courageux ceux qui traversent en voilier, en kayak ou à la nage ces océans. La mer est changeante, si belle lorsqu'elle est calme, mais angoissante une fois agitée.
Nous prévoyons rester sur ce verger quelques semaines. Je réalise que cette stabilité me fait du bien,après plus d'un mois sur la route, en nomade.
Nous avons réalisé un périple de 3 jours/2 nuits dans le parc d'Abel tasman. Deux journées de kayak de mer à découvrir les falaises, les îles, les oiseaux et même quelques phoques. Et finalement une journée de marche pour revenir à notre point de départ (25 km... quand même!... parfois je me demande si on n'est pas un peu fou:) Un souvenir pour moi tant par la beauté des paysages que par les émotions vécues sur la mer agitée de ma 2e journée de kayak.
Avoir le mal de mer: se sentir "barouater" d'un bord pis de de l'autre en essayant de garder le contrôle malgré tout.
Quand je regardais à l'horizon et que mon regard n'y voyait rien ou plutôt que de l'eau, je me sentais vulnérable. Minuscule dans cette immensité bleue. Courageux ceux qui traversent en voilier, en kayak ou à la nage ces océans. La mer est changeante, si belle lorsqu'elle est calme, mais angoissante une fois agitée.
Qui est ce beau bonhomme :) Expédition en kayak de mer
Premier coucher de soleil sur la West Coast
Impressionnante arche de rocher perdue au milieu des bois
Au sommet de Avalanche Peak, les Kéas sont Rois
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